Le diabète: un crime organisé
Sachez que les politiques médicales publiques sont instituées pour que vous, ou votre proche, ne guérissiez jamais de cette maladie!
Une preuve? La « Fédération Française des Diabétiques », membre de la « Fédération Internationale du Diabète », siégeant à la Direction Générale de la Santé, préconise à ses adhérents diabétiques, de passer d’une alimentation contenant 40 à 45% de carbohydrates à une alimentation dont les carbohydrates constituent 50 à 55 % de la ration !
50 à 55% de sucres dans l’alimentation de ceux pour qui les sucres sont un poison !!
Le résultat de cet empoisonnement planétaire:
. le nombre de diabétiques dans le monde s’était trouvé multiplié par plus de 10 en 30 ans, passant de 35 millions en 1985 à 390 aujourd’hui.
. le coût annuel de la prise en charge médicale du diabète se chiffre actuellement à 500 milliards de dollars -ce qui représente 10 % des dépenses mondiales de santé.
.6 millions de personnes par an, parmi les diabétiques, finissent par décéder des suites de la maladie, quand, à titre de comparaison, le nombre de victimes du cancer s’élève à 8 millions.
En cause : l’explosion de l’obésité, elle-même conséquence d’une alimentation à hauts risques pour la santé, imposée depuis la décennie 1970 -d’abord aux Américains puis aux Européens- par l’industrie agroalimentaire et ses soutiens politiques, à rebours des consommations traditionnelles.
Une alimentation "criminelle", du fait du progressif "remplacement" des lipides d'origine animale (contenus dans les produits carnés et laitiers) par les carbohydrates (glucides ou "sucres") -"poison" des diabétiques-.
Une substitution "à but lucratif", intentionnellement amorcée, il y a une quarantaine d'années, par les décideurs économiques américains (politiciens et industriels de l'agro-business) avec la caution d'études scientifiques relevant de la supercherie.
Un "crime organisé" visant à l'écoulement sur le marché mondial des surplus de la production agricole céréalière intensive (par ailleurs davantage rentable que l'élevage), et justifié par des publications scientifiques mensongères incriminant les acides gras saturés et le cholestérol (contenus notamment dans la viande bovine et les laitages) dans le développement des maladies cardio-vasculaires.
Le diabète : un crime organisé, le livre numérique (paru en mars) dont je suis l’auteur, propose une somme de données que vous ne trouverez à lire dans aucune des innombrables publications de vulgarisation médicale (sites web, ouvrages, supports de médias) dédiées.
Une série de vérités "qui dérangent" –notamment la filière agroalimentaire et celle du médicament-, mais que tout un chacun est en droit de connaître, et auxquelles j’ai jugé important de faire écho à votre intention.
Vétérinaire en région parisienne depuis plus de 20 ans, j’ai été témoin sur la durée de la dégradation de l’état sanitaire et de la baisse de l’espérance de vie des animaux de compagnie, de la fréquence -en augmentation constante- des cas d’obésité et de diabète -félin, notamment-.
Des chiens et des chats victimes de semblables évolutions en termes de nutrition, via le pet food dont le développement a fait office de "répétition générale" avant les grandes manœuvres de la mondialisation agroalimentaire.