Michel,
Aujourd'hui je sais, et j'ai enfin la preuve par A+B que les ISRS provoque non seulement une addiction, mais également les effets inverses à ce qui est annoncé. je m'explique, bien que je l'ai déjà fais sur le post de pierrette.
en juin 2012 on me prescrit un anxio + un AD suite à un gros choc émotionnel, je rappelle qu'un médecin m'avait annoncé qu'il me restait environ 6 mois à vivre.. (erreur médicale), mais jusqu'à ce fameux mois de juin je certifie que je n'avais aucun probléme dépressif, sinon ce post n'aurait aucun interêt concret.
donc je me suis servé totalement de ma benzo le 31/12/2013, j'ai pas mal jonglé mais le post sevrage à été réussi.
par contre je me faisais une "joie" de me séparer de mon AD, me sachant "non-dépressif", et pourtant... 6 semaines aprés l'arrêt total de mon Ad, j'ai de grosses angoisses, un sentiment de dépression, des maux de tête terribles, des vertiges, je suis étourdie depuis 2 semaines non stop...
donc dans une logique "purement logique"
tu prends un quidam, sans aucun probléme de santé psychique, tu lui donne un AD pendant 22 mois puis tu lui fais un sevrage de 2 mois, ce quidam va avoir des gros problémes émotifs, cognitifs... et le médecin tu parles d'effet rebond !!!??? ce que les médecins appellent un effet rebdon, c'est le retour du mal initial.... mais quand tu n'as pas de mal initial, cela s'appelle comment ? Iatrogéne ??